Que serait la cuisine sans blé, pas de pâte, même pas de
pain et encore moins de gâteaux,
avec la majorité des céréales l'on peu confectionner un aliment pâteux assez
modelé mais nous n'aurions pas le même résultat du blé qui est l'unique à s'adapter
à chaque type de préparation de la
pâte avec ses forme variées, au pain aussi
riche de préparations différentes aux gâteaux avec une infinité de recettes.
La découverte du blé ce calcule environ à
10000 ans avant notre ère entre Israël
et la Turquie et à l'haut plateau iranien, dans cette
demi-lune la terre est très fertile
et la domestication des céréales comme le blé et l'orge et de diverses légumineuses comme
les pois chiches, les lentilles, les fèves et les petits pois, de diverses études ont
confirmé ce que l'on supposait, que effectivement certaines espèces que aujourd'hui ce
cultivent sont les descendances de quelques espèces de blé
sauvage que lentement l'ont à
disséminées à ouest pénétrant jusqu'à l'Europe et vers l'est en Asie, le blé vante une
histoire très ancienne qui permis à l'homme de ce civiliser en cuisine dans cette
zone, la particularité de ses plantes sont le résultat d'une évolution en grande
partie crée de l'homme qui a pourvu à la domestication des espèces sauvages.
Pour commencer ce que je désire je dois partir de la première découverte indispensable
en cuisine et pour notre corps,
"le sel
", cette découverte a été faite en
Chine il y à
environ
10000 ans avant notre ère, depuis, au
sel l'on à attribué des mythes, des
croyances et des superstitions, à partir du sel tant
"d'inventions
" et découvertes ce
succédèrent, dans ce texte je ne m'arrêterais pas aux mythes où croyances où superstitions
mais aux découvertes et inventions de l'homme pour les êtres vivants, en parcourant
la route du sel nous arrivons à nos jours avec des découvertes merveilleuses pour nous
aujourd'hui banales et tout à fait normal, mais combien d'embûches avant d'y arriver,
tant de guerres et de morts.
La Chine fut la première nation à découvrir les gisements de sel en les extrayant de
diverses manières et découvrant les dot de ce minéral, avant de commencer je m'arrête un
instant pour décrire quelques mythes et superstitions répandues dans le monde sans aucun
approfondissement, certaines cultures employaient le sel comme symbole de fécondité vu
qu'ils pensaient que les poissons marins sont plus prolifiques que les poissons d'eau
douce pour cette raison encore à prouver ils mettaient le sel dans la poche du marié
pour le rendre fécond, d'autres cultures le mettaient en poche de la mariée, d'autres à
tous deux, d'autres cultures répandaient le sel sur la chaussure de la femme, d'autres,
les époux devaient marcher sur un lit de sel, pour rester dans les superstitions, nous
trouvons le sel comme symbole pour chasser les mauvais esprits où pour chasser le mauvais
sort, pour d'autres, mettre une poignée de sel devant la porte de son propre commerce
attiraient les clients, les moines, les sacerdoces et les prêtres de certaines cultures
ne devaient pas ce nourrir de sel pour une période déterminée pour ne pas succomber à la
tentation, dans les civilisations patriarcales la mariée devait s'abstenir de sel pour
toute la période de deuil, pour les civilisations matriarcales c'était le contraire
où (horreur) elle devaient mettre le sel dans le vagin, pour combattre le désir sexuel
les prêtres et les prostituées devaient s'abstenir de sel pour de longues périodes,
D__u omnipotent faisait pour le peuple Hébreux un pacte de sel qui encore aujourd'hui
est perpétué le soir du Shabbat mangeant un morceau de pain trempé dans le sel.
La liste serait longue et un livre pour énumérer ne me suffirait pas.
L'utilisation du sel ce chiffre environ à
14000 emplois différents touchant tous les
secteurs où presque, des médicaments au déglaçage des routes, de la fertilisation au
savon, de la
conservation à la fermentation et c'est justement ses deux derniers que
j'approfondirais.
Des découverte archéologiques l'on attribue la découverte du sel environ
10000 ans avant
notre ère, c'est justement à l'époque du bronze que l'homme suivant les
animaux qui léchaient
des rochers découvrirent un des éléments essentiels pour notre survie, le
chlorure de sodium, le manque provoque des œdèmes puis des problèmes cardio-vasculaires,
la nécessité journalière n'est pas encore établie avec précision mais elle tourne aux
environs de
1 à
5 grammes pour l'homme.
Ce fut toujours par le sel que les
Chinois domestiquaient les petits des loups pour avoir
un valide compagnon de chasse et de garde, d'après certains documents les premières
domestications s'effectuaient de manière très simple et tout à fait particulière,
les hommes auraient construit un enclos avec une entrée d'un côté, au côté opposé de
l'ouverture les hommes appuyaient une roche de sel où carrément ils urinaient, ainsi
les animaux s'approchaient et léchaient, ce fut ainsi que l'homme capturait les animaux sauvages.
Mais la vraie histoire débutait avec Huangdi l'inventeur de l'écriture et conduisit
la première guerre du sel aux environs de
6000 ans avant notre ère, dans la province de
Shansi une zone aride et sèche il y à un lac salé le Yuncheng ce fut le centre de
nombreuses batailles et guerres pour prendre possession de ce lac qui en été s'évapore
laissant sur son lit du sel, l'on ramassait avec facilité les cristaux de sel que l'eau
après totale évaporation avait laissé, mais selon certains archéologues par la datation
du carbone les restes humains seraient antérieurs à cette époque, remontant quelques
siècles, vers les années
800 avant notre ère l'Empereur Xia reconnut comme l'auteur de
la découverte de l'évaporation de l'eau de mer dans des récipients, l'on mettait l'eau
de mer dans des jarres en argile et on laissait évaporer au soleil où on la faisait
bouillir pour obtenir les cristaux de sel, mais d'après certains documents cette
technique était déjà diffusée quelques siècles auparavant.
Il y à environ
1000 ans avant notre ère les Chinois commençaient l'utilisation du fer,
l'on présume l'invention de la
casserole attribuée à Yi Dun vers l'an
450 avant notre ère
depuis l'eau de mer était faite bouillir dans les casseroles de fer que cette méthode fut
appliquée pendant plus de
2000 ans, toujours de la même époque l'on attribue l'élevage
des poissons marins.
Le soja a une importance capitale pour la découverte du pain, de la
polenta, de la pâte
et des
gnocchi, le processus du quel les Chinois faisaient fermenter le
soja dans des
vases en terre cuite où argile pour en extraire la saumure advenait à une température
entre
18° et
22° C., les légumes était mit à putréfier avec le sel, une décomposition
des sucres s'effectuaient et l'on soustrait les ferments laiteux, les Chinois l'effectuaient
même sans sel, les glucides et les protéines des légumes tendaient à putréfier en
vitesse ainsi les légumes ne ce conservaient pas mais produisirent la levure et la
fermentation portait à la production de l'alcool.
Là le nom des légumes conservé avec le sel,
"la
salade" était pour désigner les légumes
sous sel, les anglais donnèrent le nom soldiers à ceux qui étaient payés avec le sel,
en effet le sel était une forme de
"salaire
" ainsi était la solde de la majeur partie des soldats.
Pour revenir en Chine, il creusaient le sol pour extraire l'eau de mer filtrée de la
terre, ils avaient appris à creuser des puits étroits pour pouvoir creuser plus
profondément et apprirent très vite de faire les premières canalisations utilisant les
cannes de bambou extrayant l'eau salée au fond de la canne une soupape en cuire fermait
la partie ouverte du bambou pour soutirer l'eau salée, les cannes de bambou sont
résistante au sel.
Plusieurs esclaves sans raison apparente mouraient en peu de temps et parfois des flammes
sortaient de rien, au début ils pensèrent aux esprits malins, puis ils s'aperçurent
que c'était un gaz, avec des cannes de bambou ils firent les premiers gazoducs, le
même procédé était utilisé pour conduire l'eau aux réservoirs devenant toujours plus
sophistiqués, ils faisaient bouillir l'eau de mer jusqu'à évaporation quasi totale.
Aperçût que avec les légumes laissés putréfier sans sel il devenait une levure, ils
firent une popote levée, vers l'an
250 avant notre ère dans le bassin Méditerranéen
ils obtinrent les mêmes résultats, l'élevage des uri advenait aux environs de notre mer
environ
6000 ans avant notre ère, peu de milliers d'années après les Chinois, ils
domestiquèrent les uri devenant des cochons, malgré que les uri consommaient de grosses
quantités de céréales et de sel ils étaient bien payés avec leurs chaires.
L'on suppose que des popotes naissaient le pain puis ce que nous regarderons maintenant,
la Signora Pasta.
De la connaissance du blé à nos jours, l'ont a créée des mythes, des paternités
à des personnes singulières et des histoires, l'ont à attribué pour facilité la Signora Pasta
à tant de cultures, tant de peuples sans jamais arriver à une conclusion raisonnable et
avec le peu de traces restées l'on pourrait s'approcher à la réalité allant non pas pour
la découverte mais par éliminations pour causes diverses.
La naissance de la pâte est discutée et discutable depuis des siècles, l'ont n'a cru
provenant de Chine, l'ont pense encore de la Rome antique et d'autres des Arabes.
Du retour de Chine l'ont dit que
Marco Polo portait la recette de la pâte, mais
aujourd'hui nous savons avec certitude que bien avant l'année
1296 la pâte était déjà
en usage dans la
gastronomie du bassin Méditerranéen, on ne puis attribuer
"l'invention
"
de la pâte à une seule personne, bien que la
"naissance
" est située aux frontières
du bassin Méditerranéen.
D'après certains chercheurs les peuples nomades pourraient en avoir l'origine, mais cause
de leurs déplacements continu ils devaient porter le moins de poids possible et l'ont a
démontré qu'ils avaient des graines de blé où les farines torréfiées, denrées de
transport facile pour un usage pour galettes d'apparence de préparation facile, cela
démontre une familiarité et connaissance de cette préparation, sûrement ils ont eu un
rôle pour la naissance de notre pâte, le nomadisme était un bon stimulant à l'inventivité
et à la créativité.
Toutes les conditions de la
"naissance
" de la pâte dans le bassin Méditerranéen étaient
favorables, en Chine au contraire rien ne favorisait la culture du blé, déjà que leurs
bases alimentaires était le
riz, le soja et le haricot mungo qui de lui en soutiraient
la fécule, les
pâtes avec les produits non dérivants du blé font leurs apparitions
tardivement, le blé pour les Chinois était une plante peu connue qui d'après certaines
sources ils le nommaient
"mai
" l'orge et
"mai
" le blé, il n'y avait pas de distinctions,
quant à la pâte l'ont dit mint tiao sans préciser la forme où si pâte fraîche où sèche.
La culture du blé en Chine cause de l'acclimatation n'était pas favorable et d'après
l'identification du blé il résulte d'une longue sélection et croisements il démontre
qu'il n'est pas Chinois.
Au
II siècle avant notre ère la plante était connue en Chine et l'Empereur Wu de la dynastie Han
a émit un décret pour encourager la culture du blé durant la même époque
un traité d'agriculture écrit par Fan Shengzhi comment et quand semer le
"mai
", c'est à dire
en automne et en hiver justement durant la période plus aride qui aurait eut la nécessité
d'un climat humide.
Autre difficulté qui n'y était pas présent dans le bassin Méditerranéen étaient les
techniques et les outillages à leurs dispositions, leurs
"machines
" adaptées pour le millet
qui demande d'être décortiqué, à peine décortiquée le millet et le riz est prêt à être
consommés, l'ont est arrivé à des suppositions que le blé était mondé main puis brisé
au mortier et l'ont ne pouvait pas le faire en grande quantité et l'ont suppose qu'il
était cuit comme le millet c'est à dire sous forme de polenta.
Vers le V et
IV siècle avant notre ère il a été inventé le moulin rotatif, ils eurent
ainsi une production majeure et plus rapide, dans le bassin Méditerranéen l'ont
consommait la pâte levée, la pâte azyme, la polenta cuite à base de chaleur humide,
des galettes où du pain cuit à chaleur sèche, de leurs côté les Chinois avaient élaboré
un concept de pâte de
farine et eau qui durant des siècles avec le terme bing donnaient
l'origine de toute nourriture confectionnée avec cette pâte.
Il n'existe pas une seule
"voie
" entre la culture de la pâte de la Chine et la culture de
la pâte du bassin Méditerranéen, d'un côté la Chine hostile et dans le bassin
Méditerranéen au contraire très propice qui a formé deux cultures à sois de la pâte,
si la Chine a anticipé la culture de la pâte fraîche sans avoir connus le blé pour cela
élargissant ainsi une vaste gamme de pâte d'autres céréales, l'Italie a au lieu traversé
divers sentiers raffinant la propre connaissance et la maîtrise de la façon de travailler
le blé, diversifiant la culture grâce au climat propice pour cultiver le blé dur,
malgré cela la pâte n'a laissé aucune trace dans les diverses fouilles où documents.
Les premières écritures sont situées entre le XIV et XV siècle avec la connaissance
de
17 formes de pâtes, certaines encore existante, les recettes de l'époque médiévale de
pâtes où à base de blé dur sont les gnocchi, les
lasagne, les maccheroni, les vermicelles,
les
ravioli, i spaghetti, je m'arrête un instant sur les ravioli qui eux étaient déjà
présents dans la Chine antique et les vermicelles présents eux dans la terre d'Israël
sous le nom de vermishelsh et aux environs du
V siècle les communautés Juive du nord
de France consommaient déjà les vermishelsh, retrouvés ensuite au XI siècle.
L'ont peut arriver ainsi à établir un lien nominatif entre les termes de l'antiquité
et le Moyen Âge qui pourrait permettre une généalogie de la pâte alimentaire, l'ont
suppose parmi les premières pâtes fraîches les lasagne qui pour un terme gréco-romain
et hébreux lagana où laganah, cette pâte rectangulaire où étaient superposées les feuilles
de pâtes avec au milieu des farces où des sauces, quant aux pâtes sèches de forme allongée,
courtes pourraient provenir du monde Arabe de nome de itriyya qui déformé devient
tri où tria, si de sont côté les lasagne avec le terme laganon qui en latin laganum peut
faire voir où entrevoir le lien, diversement les termes itrion, tri où tria est plus ardu
établir un lien parental de la parole arabe itriyya, dans la Grèce antique avant notre ère
l'on trouve laganum pour désigner l'aliment quotidien.
Il me semble toutefois que itrium ne dériverait pas du grec vu que dans le Talmud
l'ont identifie un type de pâte cuite à l'eau, mais ensuite nous trouvons itriyya dans
un terme syrien écrit tardivement qui désigne une pâte de semoule de blé dur longue
et faite sécher avant la cuisson, mais pour ce qui touche tri où tria excepté quelques
régions d'Italie il n'y à pas de trace si non plus tard encore, nous devons attendre
le XII siècle pour voir apparaître de la part de l'Arabe d'origine de la Perse Gérard de
Cremona qui définit le tri où le tria la pâte non levée de formes de fils et depuis
l'ont à la parfaite connaissance du tri où tria, de là naissent divers termes pour
les indiquer dans les diverses régions de l'Italie, aujourd'hui totalement oublié.
Mais l'Église se posait un problème pour identifier le tri où tria, lagana où laganah,
cela a été au centre d'un grand débat pour identifier le type de pâte qu'il fallut
utiliser pour l'eucharistie, d'un côté ceux qui identifiaient le pain levé contenant
l'âme du Christ, de l'autre les latins qui avaient la préférence avec le pain azyme
qui au cours du temps devenait l'hostie, le christianisme à ainsi identifié dans la levure
l'âme du Christ, dans le pain azyme la pureté du Christ et dans l'huile la grâce divine.
Dans le traité de la Hallah du Talmud il devait être prélevé avant la cuisson du pain
un peu de pâte qui devait être offert aux Rabbins incluant même les pâtes
cuites à l'eau, qui selon les textes du Talmud ne sont pas en accord de ce qu'il
faut faire du pain enrichi de
miel et lait si le cuire à sec où à l'eau,
dans la Mihnah (loi orale) il y eut de vrais académies cause que dans les lois de la
Hallah sont renfermées les
aliments cuits au four où au grill donc sujets au prélèvement
pour les Rabbins, pendant que ils sont dispensés les aliments cuits dans un récipient
type casserole où cocotte, pendant des années ils ce posèrent ce problème su l'itrium
devait être où pas prélevé, l'ont put donc certifier que l'itrium était une pâte cuite
dans une casserole.
Cela démontre l'existence d'une pâte cuite sous une source humide et était utilisé
le terme gréco-latin sans encore aujourd'hui en savoir la forme, les lois hébraïques
de la Torah parlent clairement de galettes où pains graissés avec l'huile avant l'offerte
à D__u, étant seulement les pâtes cuites à sec, ainsi le Rav Yohanan Bar Nappaha (
185-
279)
parle clairement que chaque pâte cuite avec une source de chaleur directe est sujette à
la Hallah donc sacralisée, pendant que quelconque pâte cuite sous une source humide sans
flamme directe n'est pas considérée dans l'accomplissement de la liturgie, ce référent
aux lois hébraïques l'Église prend avec vif égard la cuisson à sec avec flamme directe
faisant ainsi cette pâte comme le corps du Christ et de l'autre pâte à manger quotidiennement.
Ses influences religieuses suggestionnèrent l'émersion de la pâte dans le bassin
Méditerranéen, suivant le judaïsme qui distingue la pâte levée et la pâte non levée
par un concept au christianisme du sacré au profane, mettant en évidence la distinction
entre les deux pâtes ainsi le sacré où le profane de faire si que la pâte levée devait
être sujette aux bénédictions et faire le signe de la croix.
Les hébreux cataloguèrent l'itrium dans les polente n'ayant aucune relation avec le pain
azyme de forme plate et ronde et cuit à sec, ayant un façonnement moins complexe que les
pâtes à fils où les laganah qui toutes deux sont cuites humides.
Comment de lagana où laganah l'on arrive à lasagne par identification, l'ont distinguerait
de la forme de losanges larges et longs comme la main cuite ensuite à l'eau, les
formes de pâtes alimentaires ce suivirent dès l'apparition des recettes, le nom de
lasagne était pour distinguer la forme spécifique, nous trouvons les premières traces
en Europe sous divers noms mais tous rappellent les losanges, les Anglais nomment toutes
leurs pâtes plates semblables aux lasagne
"losens
",
"loscyns
", non seulement pour les
pâtes alimentaires, mais aussi pour les desserts, pour les diverses coupes y compris des
fromages où des viandes, pour retourner un peu en arrière, les Arabes coupaient les pâtes
en losanges mêmes si elles étaient mises dans des récipients ronds, d'après divers livres
émergent diverses raisons, mystiques, de la nature, de la guerre où religieuse.
Comme nous pourront le voir, les lasagne sont les premières formes reconnues, suivies
ensuite par des pâtes longues, les premières traces du nominatif lasagne remonte au
XIV siècle, pâte cuite dans de l'eau et assaisonnée avec du fromage où une où plusieurs
pâtes superposées avec des ingrédients au centre qui sont pour indiquer par après une
cuisson à sec.
Il y eut un bref débat au sein du judaïsme si ses dernières étaient sujettes où pas
à être offertes aux Rabbins, étant donné que la pâte était en un premier temps cuite
à l'eau donc non sujette.
Pendant plusieurs siècles la lasagna était la dénomination d'enveloppe avec au centre
une farce où fromages où pour la dénomination de gâteaux en couches où desserts
farcis, en passant même par les beignets, enfin tout ce que la pâte recouvrait un
ingrédient, ce furent les traités de cuisine italienne à partir du XV siècle que pris
la dénomination définitive comme nous la connaissons à nos jours comme pâte alimentaire,
de là elle devient la pâte à cuire dans le bouillon avec ses formes particulières,
la pâte assaisonnée avec des sauces où jus différents là aussi avec ses formes particulières.
Nous trouvons un siècle avant les tortelli qui eux sont des petites tartes, pâte farcie
et miniaturisée, souvent cuite à sec et ce fut seulement le siècle successif qu'elle
est reconnue comme pâte faisant partie des pâtes alimentaires farcies et cuites non
plus à sec mais dans du bouillon.
Pour rester momentanément dans le XV siècle, nous trouvons des dénominations de pâtes
alimentaires fraîches que l'ont n'a plus de trace toutes formes faites à partir
de la forme base où forme mère les lasagne, mais d'autres formes apparaissent sans
avoir encore leurs dénominations, de la forme mère pâtes coupées en bandes étroites où
encore pâtes coupées en fils longs et étroits, la manipulation de la pâte en Italie
devient un
"art
" et les cuisiniers de l'époque sont maîtres de chercher d'autres formes,
pour la première fois au XV siècle apparaît le nom maccheroni, ils sont avant de la
forme mère roulés et coupés longs et larges comme le petit doigt, mais la forme n'était
pas encore distincte, mais c'est le début pour cataloguer les pâtes plates où pâtes à
section, c'est-à-dire roulées la pâte autour d'un pivot, collée sur les bords pour
la rendre ronde puis séchée.
Sûrement l'idée de faire les maccheroni pourrait naître des gnocchi, ses derniers ce
fabriquaient en roulant une pâte et lui donner la forme d'une bille, leurs noms n'étaient
pas encore éclairci, dans certaines régions d'Italie ils étaient appelés maccheroni,
goûtés dans les osterie toscanes où les toscans même pour ramasser les gnocchi où comme
ils étaient nommés maccheroni, avec les doigts pour porter à la bouche ils inventèrent un
instrument à planter dans les
"maccheroni
" et les porter à la bouche, copiant justement
les paysans avec leurs fourche, de là naît la
"fourchette
".
Les pâtes sèches déjà connues avant notre ère, pourraient s'être transférées en Sicile
avec les migrations Arabes sur l'île, la Sicile déjà su XII siècle fabriquer
des pâtes sèches sans par contre leurs donner un nom à chaque type de pâte.
Si d'un côté la pâte où ses nominatifs n'émergent pas avant le XV siècle, de l'autre
nous trouvons une maestria dans la préparation des pâtes filiformes avec des termes
généralisés de maccheroni où vermicelles, cela en démontrerait l'existence précédente,
l'ont préparait déjà durant les époques Bibliques les vermishelsh en Israël, c'est
donc impensable que durant plus de
15 siècles les pâtes ne soient plus travaillées,
c'est donc impensable que l'évolution des lasagne et autre types de pâtes présents en
Italie aillent pris forme soudainement en sautant de étapes pratiquement obligatoires,
l'existence des sauces et des jus comme les maccheroni à la sicilienne où les maccheroni
à la génoise.
En référence à divers manuscrits, textes, livres et le Talmud, les pâtes alimentaires
avaient leur présence dans tout le bassin Méditerranéen ayant aussi la connaissance
de la préparation, la connaissance du tri où tria déjà dans les siècles XII, le tri comme
forme de vermicelles est identifié dans un livre de recettes du même siècle.
En Espagne durant la période Arabo-Andalouse existent là aussi des formes de pâtes
de nom itriyya, en Perse l'on retrouve la parole rista, une affiliation dans les autres
pays Arabes pour identifier les vermicelles était nommée reshta, d'autres fidwas qui
devenait par la suite fideos avec grande diffusion dans la péninsule ibérique, les termes
étaient différents mais la pâte était en commun, une grande richesse de noms pour un seul
type de pâte présente dans le bassin Méditerranéen et commercialisées des pays Arabes en
direction de Naples, Gènes, Barcelone et Maiorca en passant par la Sardaigne.
Mais les populations hébraïques du nord de France faisaient référence au vermishelsh
si être soumis à la Hallah où si ils en étaient dispensés, ce basant du Talmud, depuis
les nations germaniques et françaises recommençait où continuait le débat des vermicelles
à cuisson humide supposées où pas à la bénédiction, appartenant à l même famille des
pitances qui devaient être sujets à la bénédiction devaient trouver une raison valable
pour qu'ils en soient dispensés, ses débats allaient en avant pendant des siècles,
nous retrouvons la maîtrise de la cuisson et les débats religieux auprès des communautés
hébraïques nord-africaines et espagnoles, mais surtout au Maghreb que les hébreux sont
présents encore avant les conquêtes Arabes, ceci implique que les Hébreux dans leurs
déplacements portèrent avec les vermicelles, l'ont suppose être une spécialité purement
juive, en Italie et en Sicile en particulier les vermicelles n'étaient pas de grand usage
si non au sein des communautés juives mais les mots tri où tria étaient d'utilisation commune,
de l'autre côté de la Méditerranée, en Espagne, les vermicelles sont connues et utilisée
en échelle modérée mais plus que en Italie.
Au Nord Afrique l'ont utilise la pâte avec des légumes, viandes et peuvent être faites
de pâte travaillée où simplement de farine de blé qui sera cuit au bouillon mais aussi
à la vapeur où à sec dans une casserole accompagnée toujours de légumes où viandes,
pour eux il n'y à pas grande différence entre le
couscous et la pâte, tous deux comme
accompagnement et tous deux assaisonnés avec des sauces, légumes où viandes, les
espagnols n'ont pas trop évolué le façonnement de la pâte comme les italiens qui ses
derniers à partir de la lagana où laganah c'est-à-dire les lasagne en soutirant
des formes différentes, le plus grand développement de pâtes nous le trouvons en Sicile
qui deviendra bien vite au centre de la fabrication des vermicelles pour être vendus
surtout dans les pays Arabes et en Espagne et d'autres formes de pâte vers le nord,
la France, l'Allemagne et l'Angleterre, les lasagne restèrent aux confins de
l'Italie, le développement de la pâte en Espagne reste aux limites des vermicelles,
que nous trouvons une paella fideria faite comme la paella mais remplaçant le riz
par la pâte a fils et courte, la pâte farcie est absente en Espagne.
C'est l'Italie la seule nation à avoir développé une gastronomie de pâte, nous souvenant
que les mères de toutes les pâtes sont les vermicelles et les lasagne où le contraire,
ainsi l'ont met une différence la cuisson de petites pâtes provenant des vermicelles
qui seront cuits au bouillon et les pâtes provenant des lasagne qui seront cuites à
l'eau salée, en valorisant à différence de tous les autres peuples une culture de la pâte
unique en Europe, l'utilisant comme plat unique et non plus comme accompagnement des
viandes, ce rôle important que les Italiens lui donnèrent est unique au monde.
Si en Sicile et au sud de l'Italie en général l'on n'utilise la farine de blé dur, au
nord l'on utilise plus facilement la farine de blé tendre, les villes de Milan,
Bologna
et Reggio Emilia commencèrent à ajouter les
œufs, environ au XII siècle la ville de
Bologna ajoutait ce que j'appelle pré-œufs, par exclusion l'on peut arriver à supposer
que pour des raisons de transport et économique l'on utilisait la farine de blé tendre,
en quelques années à Bologna ils éliminèrent l'eau de la pâte et introduisirent les
pré-œufs, on ne peut adjuger la paternité à une simple personne, mais à un concours de
circonstances diverses devait être à la base pour introduire les pré-œufs dans la farine,
l'économie prospère de Bologna, la concurrence des petits
"lasagnari
", des commerçants
de quartier et le blé tendre, furent les circonstances pour l'ajout des pré-œufs.
L'expression de
"la pâte à l'italienne
" apparaît déjà au quinzième siècle, l'Italie
est la seule nation à avoir développé parallèlement la pâte sèche et la pâte fraîche,
mais la production est uniquement manuelle, ce fut seulement au seizième siècle qui
ce développait une émancipation des
"pastai
" organisés en une corporation, modernisant
ainsi les méthodes de fabrication industrielle avec des machines permettant de produire
d'avantage en un temps mineur offrant ainsi à la pâte sa propre catégorie alimentaire
lucrative, il naissait ainsi une gamme de produits et formes plus variées dès
l'utilisation de semoule de blé dur de qualité supérieure, la commercialisation sur large
échelle connaît une vraie révolution.
Un facteur déterminant du succès de la pâte sèche à longue conservation en Italie puis
dans le reste de l'Europe ce trouve dans les propriétés de la semoule de blé dur que
les lois interdisaient où décourageaient l'utilisation de la farine de blé tendre, si
jusqu'au début du XIX ème siècle l'on utilisait dans certaines régions d'Italie la farine
de blé tendre c'est uniquement pour une question de fourniture, pas toutes les régions
sont fournies du sud de l'Italie où du Maroc de la semoule de blé dur, alors ils
devaient mélanger les diverses farines rendant ainsi la qualité inférieure.
Si comme ont à vu, l'itriyya proviendrait de la région géographique Perse les vermishelsh
seraient de la région géographique d'Israël, il apparaît improbable qu'elles ce soient
développées en parallèle mais plutôt dérivés l'une de l'autre.